Accompagnement psychologique personnalisé

Je vous reçois dans un espace bienveillant, confidentiel et respectueux, où vous n’avez rien à prouver (seulement à être vous-même).

Que votre couple, vous ou votre enfant traversiez une période difficile, que votre couple, vous ou votre enfant portiez des blessures du passé, traversiez une crise, ou que votre sexualité vous pose question… il n'y a pas de raison de porter ça seul·e, et il existe probablement des solutions.

1. Quand vos émotions vous paralysent plus qu’elles ne vous guident
   L’anxiété, la tristesse ou la colère deviennent problématiques non pas parce qu’elles existent, mais lorsqu’elles entravent votre capacité à vivre, choisir, ou vous sentir vous-même — même si vous « fonctionnez » à l’extérieur.

2. Quand vous répétez les mêmes schémas, malgré vos efforts pour en sortir
   Relations toxiques, dépendance émotionnelle, fuite de l’intimité, ou sabotages inconscients : ce ne sont pas des « défauts de caractère », mais souvent des adaptations à des expériences passées. La thérapie permet de les décrypter, et si ces schémas sont issus d'expériences passées, permet de les corriger .

3. Après un événement traumatisant — même s’il semble « banal »
   Un accident, une rupture violente, une agression, une grossesse difficile, une trahison… Le cerveau ne juge pas la gravité objective d’un événement : il réagit à la menace perçue. Si vous revivez l’événement, l’évitez, ou vous sentez constamment en alerte, cela peut répondre aux critères d’un trouble de stress post-traumatique (TSPT) ou d’un trouble de stress post-traumatique complexe (TSPT-C). L'EMDR est une technique efficace pour alléger le poids de cet événement.

4. Quand l’intimité devient une zone de tension, de honte ou de performance
   Le désir, l’excitation, l’orgasme ne se commandent pas à volonté. Si votre vie sexuelle est source de conflit, de silence, de douleur ou d’absence — avec vous-même ou avec un·e partenaire —, cela mérite exploration. La sexologie clinique montre que ces questions relèvent rarement du « manque d’amour ».

5. Quand votre couple semble « stable », mais vide
   Vous cohabitez, vous vous entendez… mais vous vous sentez seul·e à deux. Ce n’est pas un « échec », mais un signe que le lien a besoin d’être réactualisé. La thérapie de couple n’est pas réservée aux crises : elle sert aussi à prévenir l’effritement silencieux.

6. Quand vous culpabilisez de ne pas aller « mieux » malgré le temps
   Le temps ne guérit pas toutes les blessures. Certaines demandent une réorganisation interne, une narration nouvelle, un accompagnement. Attendre « d’être au fond du trou » retarde inutilement le soulagement.

7. Quand vous avez juste besoin de poser une question à quelqu’un·e qui ne vous donne pas de conseils, mais vous aide à penser
   Consulter n’exige pas d’être « malade ». Parfois, c’est juste vouloir comprendre pourquoi on agit, souffre ou désire d’une certaine façon — sans jugement, sans attente, sans rôle à jouer. C’est aussi cela, la psychothérapie scientifiquement validée : un espace de clarification.

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